Le marché immobilier belge en plein essor
Comment nous souviendrons-nous de notre année 2022 sur le marché immobilier ? 2021 a été l'année où le marché est devenu surchauffé en réponse à la situation exceptionnelle provoquée par la pandémie. Cependant, à la fin de l'année 2021, les chiffres semblaient déjà indiquer un refroidissement prudent du marché. Mais comment le marché a-t-il réagi à l'inflation galopante, à la crise énergétique et à la hausse des taux d'intérêt en 2022, rendant de plus en plus difficile pour les ménages d'acheter une propriété ?
Ce rapport vise à éclairer deux questions qui ont été âprement débattues tout au long de 2022. Premièrement, pouvons-nous enfin parler d'un refroidissement du marché ? Et deuxièmement, quel impact la crise énergétique a-t-elle eu sur les prix immobiliers ?
De nombreux acheteurs ont probablement vu les signes avant-coureurs en début d'année. Avec la hausse des taux d'intérêt et aucune fin en vue de l'inflation élevée, le marché est devenu beaucoup plus volatile au deuxième trimestre. Les maisons sont soudainement devenues 3 % plus chères et ont disparu du marché 3 semaines plus rapidement. Cependant, cette surchauffe s'est avérée de courte durée. La crise en cours a peut-être dissuadé les acheteurs, car aujourd'hui, nous pouvons clairement affirmer que le marché s'est refroidi. Vous pouvez tout lire en détail ici.
Une autre conséquence de la crise énergétique a été que l'efficacité énergétique des logements est soudainement devenue beaucoup plus importante. Nous savons depuis un certain temps que la Belgique fait face à un parc immobilier obsolète et que nous sommes loin des objectifs énergétiques de 2050. Nos analyses indiquent que la pénurie de logements économes en énergie, combinée à la crise énergétique, a encore fait monter les prix des propriétés économes en énergie. Lisez notre rapport complet sur les tendances des prix des logements économes en énergie ici.
Lisez le rapport annuel complet ici